Je vous jure, j’étais pas prêt. Dès les premières secondes de « Hija de Lucifer », j’ai senti que Ouilyam allait pas juste nous raconter une histoire d’amour classique. Non, ici on parle d’un coup de foudre aussi brûlant que toxique, avec une ambiance qui oscille entre rêve caribéen et descente aux enfers. La prod est sensuelle, presque envoûtante, mais y’a un truc qui grince sous la douceur : comme si on dansait pieds nus sur des braises. Et ce clip... wow. Tourné entre Punta Cana et Saint-Domingue, il est aussi chaud que l’histoire est glaciale. Une beauté magnétique, un cadre paradisiaque… mais le malaise s’installe vite. C’est pas juste un clip, c’est un voyage à deux doigts de l’interdit. Franchement, allez le mater maintenant, c’est le genre de vidéo qui colle à la rétine.
L’ombre et la lumière au micro
Ouilyam, c’est pas juste une voix douce sur un beat langoureux. C’est un parcours. Né entre la Martinique et le Maroc, il a grandi en Île-de-France avec le bégaiement comme compagnon silencieux — jusqu’à ce que le chant le libère. Il a goûté au zouk, s’est frotté au gospel, puis a trouvé son second souffle à Punta Cana, où il chante, compose, et vit la musique comme une renaissance.
« Hija de Lucifer » marque un virage intense, une vibe plus obscure, plus assumée, sans jamais perdre cette touche sensible qui le rend unique. Et l’année ne fait que commencer… Gardez bien vos écouteurs chargés : Ouilyam est prêt à faire trembler vos playlists toute 2025.
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